Les fables de la fontaine

Privé de fontaine ce matin : j’étais encore légèrement à la bourre, mais le peloton a du partir un peu avant l’heure et je me suis donc dit comme le lièvre de la fable : rien ne sert de courir, il faut partir à point. Comme la cigale je me trouvais fort dépourvu et jurais comme le renard qu’on ne m’y reprendrait plus.
On s’est, en fait, retrouvé à 3 orphelins et comme des grands on est parti par la route de Sommières en espérant reprendre le peloton mais en vain. On a donc été monter Maruéjols en passant par Caveirac, Clarensac et Saint Côme. Arrivé là, vu qu’il faisait toujours aussi froid on s’est dit qu’on allait à Cannes voir s’il faisait meilleur sur la croisette. Aussitôt dit, aussitôt fait, une fois passé Fontanès, Lecques, Sardan et Sérignac, de croisette nenni, mais mal au cannes, oui ! On a donc décidé de rentrer sans mollir par Moulézan, Mauressargues et Saint Geniès, petit crochet par Montignargues le bien nommé et direction la vieille route d’Anduze.
Finalement, juste avant le Pompidou on a repris 2 éléments de la fontaine et on a pu dire comme le rat : patience et longueur de temps valent mieux que force ni que rage.
Comme il faut toujours voir le bon côté des choses, on a bien travaillé, vu qu’à trois les relais reviennent rapidement et que le vent était encore de la partie. Allez, il faut maintenant attendre samedi pour remettre ça, mais « tout vient à point à qui sait attendre ».

Interview exclusive !

Extrait d’une interview accordée par iv à sa fille.

Q : Hé pa c koa « la fontaine », c ton club ou koa ?
R : Non, ma fille, mon club c’est le sprinter vélo club nîmois, la fontaine c’est juste un rassemblement de cycliste qui veulent rouler ensemble.
Q : Ah ouais, c cool, c kan , c tou lé jours ?
R : Non, c’est seulement les mardis, jeudis, samedis et dimanches.
Q : é à kel eure c ?
R : L’hiver on part à 09h00 et l’été à 08h30.
Q : Vous ète oufs c tro to, vous fête bocou de kilomètres ou koa ?
R : Ca tourne autour de la centaine, un peu plus un peu moins, ça dépend des jours.
Q : ouais c bien ce ke j’di vous ète dé malades, pkoi sa sapèle la fontaine.
R : Parce qu’avant les rassemblements avaient lieu devant les jardins de la fontaine mais maintenant nous nous retrouvons place Séverine.
Q : Cool, bon, cimère pa, t ouf mé j’te kiffe. Tchou.

Mieux vaut grouper tôt

J'vous mets un dessin qui représente assez bien mon état dans la côte de Marignac, cherchant la motivation et l'énergie.
Ca s'est passé comme un dimanche: on a roulé sérieux mais correct jusqu'à Saint Chaptes en passant par la vieille route d'Anduze et La Calmette. Le rhytme s'est ensuite accéléré avec, en plus, un vent défavorable et à partir de Saint Dézéry il y a eu comme qui dirait explosion du peloton. On a réussi à former un bon groupetto d'une quinzaine d'unité et à garder un bon train. On est passé par Castelnau, Saint Maurice et Foissac et là à mon grand regret certains on dit que le parcours prévu passait par Marignac, il à donc fallu y aller mais pour ma part ce fut plutôt à reculons. Une fois Marignac passé et le groupetto reconstitué on est rentré toujours sur un bon rhytme par Serviers, Uzés et pont Saint Nicolas. Là, j'avais retrouvé des jambes et du moral et c'est même moi qui ai fait le tempo jusqu'en haut.
On va dire quand même bonne sortie, beau temps avec du vent, un peu fatigué(Eric je t'entends penser jusqu'ici) et vivement mardi.

La fontaine

Aujourd'hui j'avais pensé à prendre l'appareil photo, j'ai donc commencé par en faire une du départ place Séverine( un peu à l'arrache vu que j'étais encore à la bourre).
Nous sommes ensuite partis pour Vauvert à une allure de sénateurs, pour s'arrêter et marquer une minute de silence à l'endroit de l'accident du 26 février 2000. (cliquez ici pour en savoir plus)
Jef a ensuite pris le commandement des opérations pour nous emmener, par Aimargues, Saint Laurent d'Aigouze et Galician , monter Franquevaux.
Ca n'a pas roulé trop fort, le vent étant un peu contre nous on a bien relayé devant jusqu'aux Iscles. Là, petit relachement, j'ai donc pu prendre Eric en train de raconter sa vie au lieu de se concentrer sur sa route au risque de tomber dans le canal des Capettes(j'fait ce que je peux pour le caser le canal).
Dans Franquevaux on est monté tranquillou avec juste une accélération sur la fin avant de basculer vers Générac et Nîmes.
Encore bonne sortie, encore beau temps(froid au début) et même pas mal les gambettes, heureusement parc'que demain ça risque de n'pas être la même chanson.

Petit supplément pour Steffy

Celle-là c'est pour Stéphanie qui est chez les rosbeef et qui n'a pas vu ses chats depuis un mois.

Bande de petits veinards

Allez! J'suis trop bon avec vous, je mets une photo de mon fidèle destrier pour ceusse qui n'ont pas encore eu la chance de l'admirer. Pour vous prouver qu'il est beau je vous mets celle où le chat est en train de le bader, je crois que si vous cliquez sur la photo vous pouvez l'agrandir. Vous pouvez également enregistrer l'image pour vous la mettre en fond d'écran ou l'imprimer et l'accrocher au-dessus de votre lit. Non, non ne me remerciez pas, c'est vraiment de bon cœur.

Mistralou

Bon! Petit compte rendu de l'étape du jour. Déjà je suis arrivé à la bourre place Séverine, juste à temps pour voir que ça partait par le Pompidou, ensuite avec le jeu des feux rouges une belle cassure s'est faite et on n’a fini par rejoindre les premiers qu'au niveau de la vieille route d'Anduze.
A peine les choses rentrées dans l’ordre, trois gars se sont fait la malle et on a donc commencé à rouler sérieux pour les reprendre, mais devant ça s’est pas trop bien entendu et on a donc laisser partir pour prendre un bon train mais raisonnable.
De toute façon, vu qu’il y avait un petit mistralou, j’avais décidé de suivre la méthode : pour vivre heureux vivons caché. On a été se faire comme ça la trilogie : Mauressargues, St Bénézet et Cassagnoles pour revenir par les collines après Vézénobres, St Maurice et tout ce qui s’en suit pour finir par Arpaillargues, Blauzac et pont St Nicolas.
Bizarrement, vu le parcours usant, j’étais encore frais au pied de la bosse. On est monté sur un train soutenu mais sans à-coup et on a fini comme ça tranquillou, vent dans le dos, jusqu’à Nîmes.
Beau parcours, beau temps, un peu de vent et un peu mal aux gambettes, vivement samedi qu’on remette ça.

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la fontaine du 21 février

J'viens d'aller voir "syrianna" au cinoch, ça casse pas des briques. C'est un thriller politico-financier qui parle de pétrodollar et de cia, le seul point positif c'est que c'est anti-américain, mais c'est quand même un film américain dans tous les sens du terme.
Bon pour en revenir à nos moutons il faut quand même que j'vous touche un mot de "la fontaine" d'hier. Il n'y a pas grand chose à en dire sauf que, pour un mardi, ça a quand même roulé pas mal vu qu'on avait 32.5 de moyenne arrivés à Nîmes.
On est allés jusqu'à Sommières en passant par Gallargues puis Quissac et vu qu'à Quissac on en avait encore dans le sac on a pris la route de Sauve(qui peut) pour monter vite fait Vic-le-fesq et direction Nîmes sur un bon train.
Bonne sortie donc, on a de la chance avec la météo qui est, il faut le dire, plutôt instable en ce moment. Le seul inconvénient étant qu'on a un peu froid au départ et un peu chaud à l'arrivée. On attend quand même les beaux jours avec impatience.

on r'met ça

Bon, vu que comme on dit maintenant, j'me fais un peu ièch, je reprends mon blog. Je pense que je vais rester sur l'idée d'un blog autour du vélo mais pas exclusivement sur "la fontaine". Je pourrai comme ça parler de mes sorties solo et de mes courses. Boires et déboires. . Peut-être quelques échos de mes ballades et autres randos, enfin bon on verra bien au fur et à mesure, ce sera suivant l'humeur du moment.
Je vous invite vivement bien entendu à me laisser des commentaires ou juste un p'tit coucou pour dire que vous êtes passés.