Une histoire belge

Vu le ciel gris et bas, l’absence de relief et les canaux on se serait cru au plat pays de Jacques Brel et donc pour rester dans les histoires belges, après Saint Laurent d’Aigouze, j’ai pensé que je pouvais m’arrêter pisser et revenir ensuite sans trop forcer sur le paquet qui musardait.
Que nenni ! Devant ils ont du se mettre à rouler sérieux car je me suis fait un contre la montre individuel jusqu’à la Bastide, je n’ai revu que quelques éléments retardés mais de peloton point.
Du coup ça m’a fait faire un bon travail de fond sur 20 bornes, je vais essayer de bien récupérer pour être en forme jeudi.
2 Comments:
tu devrais savoir que c'est quand on s' arrete pour pis.. que le peloton accelere...
c'est un grand classique des rois de la fontaine.
désolé j' ai oublié de signe jc dit hinault
à jeudi si tout vat bien
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